-Matthew... J'ai quelque chose à te dire... Je suis enceinte...
-De... Mais... Comment? Pourquoi? On n’a que 17 ans!!

Oui, tout laissait présager que ses deux amoureux allaient finir ensemble pour le reste de leur vie. Ils s'étaient rencontrés dans les couloirs du lycée, s'étaient cherchés quelques semaines avant de se succomber. Cela faisait maintenant, six mois qu'ils étaient ensemble mais personne ne s'attendait à ce que ses deux étudiants ne se retrouvent parents pendant leurs années de lycée. Pourtant c'est ce qui les attendait. Le 12 Juin 1989 naquit une belle petite créature du nom d’Ashley Ella Meester. Un bébé qui allait changer à tout jamais leur vie.
En effet, après ma naissance les projets d'avenir de mes deux parents devait être retracés. En effet, grâce, ou à cause de moi, mes parents alors âgés d’à peine la majorité, n’avait plus d’autre chose que de me voir dedans. Il ne s’agissait plus seulement de ne penser qu’à eux, en effet, ils avaient le devoir de faire aussi mon bonheur, quand à moi, je me chargerais du leurs, au moment venus. Finis les sorties en boite de nuit jusqu’à pas d’heures, ils devaient s’occuper de moi. Bien que les débuts avait était difficile, ils y avaient petite à petite pris gout. Ma mère en particulier, qui avait toujours voulus être maman, et pouvoir enfin donner pleins d’amoureux à un enfant. Sauf que voilà, ils avaient dû mettre un terme à leurs études, et autant vous dire qu’avec un dossier comme le leur, et un enfant en charge, les emplois se font de plus en plus rares. Du coup, nous ne roulions pas sur l’or. Au début, cela ne me posait aucuns problèmes. Sauf que vers l’âge de dix ans, quand je voyer toute mes amies, avec des chaussures de marques, de jolies robes et des coiffures vraiment magnifique, je commencée à beaucoup moins supporter le fait que mes parents ne soient pas vraiment dans une bonne classe sociale. Mais mon cher papa n’arrêtait pas de me dire et de me redire, que l’argent n’avait jamais fait le bonheur de qui quonque ; sauf que je n’étais pas idiote. Bien sure qu’il ne faisait pas le bonheur, mais il y contribuer tellement que je ne pouvais m’empêcher de leur en vouloir.

Cependant j’étais forcée de l’admettre, il avait tout de même un peu raison, je n’avais jamais manquée de rien. Chaque week-end, mes parents me consacraient quelques heures au bord d’un immense et magnifique lac. C'était l'un de mes meilleurs souvenirs que je ne cessais de raconter à ma maîtresse en chaque début de semaine, le sourire aux lèvres, et les yeux remplis d’un certain bonheur. Pour moi, c’était mon moment privilégié qu'aucun enfant, mis à part moi, n'avait le droit d'atteindre. A croire qu'à cet instant, rien ne pouvaient, nous toucher, nous étions dans notre coquons... Une famille soudée et unie qui ne pouvait se détruire, rien que parce que cette même famille, la mienne à l’occurrence, manquaient d’un peut d'argent.

FLASH BACK

C'était le premier jour d'école. Son premier jour avec les grands. Le primaire. J’en avais rêvé... Rêver de me faire de nouvelles copines, de faire de nouveaux jeux, de pouvoir écrire et lire comme une grande et de m'amuser comme une folle pendant toutes ses années. Malheureusement rien ne se passa comme prévu et tout allait virer au cauchemar. Alors que la maîtresse nous laissait entrer pour la première fois dans notre nouvelle classe, elle nous expliqua le programme de cette matinée: la présentation, l'alphabet et la récréation.

- Mademoiselle... Meester, à vous!
- Je ... m'appelle Ashley Ella Meester mais tout le monde m'appelle Ash'. J'ai 6 ans et...
- Que font tes parents?
- Ma maman elle repasse chez les voisines et mon papa il range un magasin... Il me donne même des bonbons de là bas... Dis-je avec un énormément sourire

FIN DE FLASH BACK

Ce sourire? Jamais on ne le reverra à l'école. Depuis cette présentation je n'avais cessé d'être persécuté, exclue pour la simple raison que je n’étais pas comme la plus part de mes camarades, riche. Tout cela parce que je n’appartenais pas à la bonne classe sociale. Je ne l’avais pas compris dés le début, mais personne n’avait perdue une seule secondes pour me le faire remarquer, à leur manier, cela va de soit. Et c’est à ce moment là, que je m’étais promis que je ferais de longues études, dans le but de faire un excellent travail pour gagner de l’argent, oui, beaucoup d’argent. Dans le simple but d’être un peu plus heureuse, et pour ne pas que mes enfants subissent toutes les choses horribles et indescriptible que moi-même j’avais subis, plus jeune.

Douce : Je peux me montrer plutôt tendre quand je le veux. Même si cela ce fait rare, j’aime beaucoup quand on s’occupe de moi, qu’on me câline, qu’on prenne soins de moi. Bien que ce soit une facette que très peu de gens connaisse, puisque je dois l’avouer, je n’ai plus vraiment confiances en ce monde qui m’entoure, cette partie de moi existe vraiment, elle est là, au fond, tout au fond de moi et ne sort que lors de rare occasion, quand je me sens bien avec les personnes qui m’entoure, quand j’ai confiance en eux ce qui ce fait de plus en plus rare.

Mystérieuse : Depuis ma naissance, j’ai appris à ne pas montrer mes sentiments, à ne pas saouler les gens avec mes histoires, du coup, quand je n’allais pas bien, je suivais ce que m’avait toujours dit mes parents, je le garder pour moi. J’essaie de me focaliser plus sur les autres, et ne rien laisser paraitre. Du coup, mes pensées sont beaucoup moins descriptibles que celle d’une autre personne quel qu’elle soit. De ce fait, peu de gens, appart peut être Emily, arrivent vraiment a voir ce que je pense, réellement. Je sais que ca peut en déranger plusieurs, mais cela fait partie de moi. De plus, il y a un côté plutôt agréable dans tout ca.

Attentive : Je suis beaucoup plus à l’écoute des autres, qu’à ma propre écoute. Je veux dire par là, que je préfère me préoccuper des problèmes des autres plutôt que des miens. J’arrive beaucoup plus à me sentir mieux ainsi ; De plus cela me permet de me sentir utile... Elle pense beaucoup trop aux autres d’ailleurs, elle ne prend pas la peine de se préoccuper de ses éventuels problèmes. Trop compliquer pour elle de toute façon, elle préfère les nier, et les oublier à travers ceux des autres. Tous ceux qu’elle connait le savent d’ailleurs. Ce confier à elle est bien plus sure que ce confier à un coffre à la banque

Séductrice : Autant être franche, j’ai du charme, et je le sais. Je l’assume peut être un peu moins au quotidien, mais sachez que je sais parfaitement m’en servir lorsque j’en ai l’utilité. Et oui, je suis une dragueuse, encore une facette de moi que peu connaissent. Et vous savez quoi, j’aime beaucoup ca !

Hystérique : Je dois bien vous l’avouez, il se trouve que j’ai un petit côté frapadingue en moi. Il y a toujours un moment, où il faut que je lâche totalement prise, que je m’évade, que je me déconnecte complètement pour penser à tout à fait autres choses, en quelques mots, que je fasse n’importe quoi. Et ca que je sois seule ou non, à me mettre dans des situations improbable, je m’en moque, tout ce qui me conviant c’est qu’ainsi, je me sente plutôt bien.